Enfance : Je suis le troisième fils de mes parents, et leurs sixièmes enfants. J’ai toujours été gâté, couvé. J’ai toujours été un peu plus faible, plus fragile. Je tombais souvent malade, mais j’ai réussis à survivre.  J’adorais jouer avec mes frères et avec mes sœurs. Surtout mes sœurs. J’adorais porter leur vêtements.

L’appel : J’avais treize printemps quand j’ai entendus l’appel. Et même si j’étais excité a l’idée de partir. J’avoue que cela me faisait un peu peur. J’ai toujours été plus faible, moins endurant que le reste des mes amis de ma famille. Le trajet me faisait peur.  Mais j’ai fait de mon mieux sans me plaindre.

Le pèlerinage : En fait cela était plus facile que prévus, puisque j’ai eu un peu d’aide. Surtout des gens qui me proposaient un lieu où dormir. J’ai fait de nouvelle rencontre sur le chemin, j’ai même rencontré des humains, ce fut ma premier rencontre avec eux… Et j’ai été troublé, intriguer.

La cérémonie d’Huritao : Quand je suis arrivé dans la plaine, j’ai été … Charmé par l’endroit par le calme de cette plaine,  par le charme de cette herbe qui ondule sous le vent. C’était tellement beau que j’ai trouvé un endroit ou m’assoir pour observer le monde. Mon cœur battait tellement vite. Et j’ai commencé à dessiner. A faire croquis sur croquis, cherchant à montrer ce que je ressentais.  J’ai d’ailleurs faillit sortir de mon corps quand j’ai sentit une présence derrière moi. Et mon cœur à redémarrer quand en me retournant j’ai plongé les yeux dans ceux du gardien Hune. Il était tellement beau.  Je me rappelle avoir tendus la main comme pour me présenter à lui.  Je me rappelle qu’il a effleuré la paume de ma main avec son museau.  Cette fois mon cœur a battu tellement vite…  et je me suis retrouvé entourer de lumière, de chaleur. Et j’ai sut, j’ai prit conscience de mon don.

J’ai juste eu le temps de le remercier avant qu’il ne s’éloigne souplement. J’aurais put le dessiner, mais comment le représenter ? Comment exprimer ce que j’ai ressentit ?

L’après : Après ma rencontre avec les gardiens j’ai décidé de changer de village. Pour rejoindre une de mes sœurs a Ranunga. J’ai commencé a apprendre à coudre, a tisser. Autant avec mon pouvoir qu’avec du vrai tissus.  A présent je commence à être connus, mes tissus plaisent, et je vis assez bien. J’apprend de plus en plus a connaitre les humains. Même si ils doivent me trouver étrange a toujours les questionner sur leur coutumes vestimentaire, a leur demander des illustrations d’ancien vêtements. J’aime beaucoup ces vêtements qu’ils appellent Kimono et leur robe.