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Que des numéro dix dans ma team [Emily]
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Jeu 17 Jan - 22:43
Comme souvent, je n’ai pas beaucoup de souvenirs de la soirée que je viens de passer. Je me rappelle uniquement des bruits, des chants, de quelques rires des personnes avec lesquelles j’ai sympathisé. Même si cela est éphémère, je me souviens d’une chose : C’était bien. Et nul doute que demain sera tout aussi distrayant. On ne risque pas d’être menacé par la routine ou par l’ennui quand on oublie tout d’une soirée à une autre. Ainsi chaque nuit, je découvre – ou redécouvre – de nouvelles personnes, de nouveaux amis.
Dans cet état de semi-lucidité dans lequel je me trouve, toutes les rues ont l’allure de boulevard, la géométrie ne fait plus sens, les hommes et les femmes se confondent et la notion de temps n’a jamais été aussi floue. Quelle heure est-il déjà ?
Tard. Je me contenterai de cette réponse pour le moment.

Chaque bâtiment se ressemble néanmoins l’habitude fait que je parviens à m’y retrouver. Comme un somnambule capable de regagner son lit les yeux fermés, je retrouve l’immeuble dans lequel je vis. Une marche, deux marche.
Mince. J’ai buté sur la troisième. Qu’à cela ne tienne, je parviens – par un exploit digne d’un guerrier des temps anciens – à rester debout. Je tourne machinalement la clé dans cette fichue serrure mais rien n’y fait. Quand ça veut pas, ça veut pas. Je songe à appeler un serrurier mais n’ayant pas de téléphone, la manœuvre risque d’être compliquée à exécuter. A noter que je trouve cette invention stupide. En outre, aucun téléphone ne pourrait résister à mes doigts. D’ailleurs c’est peut-être pour cette raison que la clé n’est plus en mesure d’ouvrir la porte de mon domicile. Je l’ai peut-être tordue ou fait partiellement fondre.
Mince alors.

Pour une raison qui m’échappe, je me mets à toquer. Oui oui, je toque à la porte de mon propre domicile. Qui sait ; Sur un malentendu, il est possible qu’un chat imaginaire ou qu’un chien que je ne possède pas m’ouvre.
Quelques minutes plus tard, ce n’est pas un animal de compagnie qui m’ouvre mais bien un être humain, ou un natif. Là comme ça, c’est difficile à dire. Je lève les yeux et constate que le numéro n’est pas le bon.
▬ Ah. Numéro 10. C’est vrai. Je suis à côté.
J’aurais peut-être mieux fait de ne pas ouvrir la bouche. D’une parce que j’ai mal au ventre. De deux parce que j’ai mal à la tête. Et de trois parce que … Là comme ça, je n’ai pas de trois. J’en avais un il y a quelques instants mais il a disparu. Un peu comme mon équilibre. Pouf. Un grand dadais qui tombe vers l’avant, un.
Emily Choi
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Emily Choi
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Emily Choi
Jeu 17 Jan - 23:47


Aldarick


Emily

「 Qui êtes-vous ? 」
Emily regarda son horloge : il était trois heures du matin. Elle entendit son chat miauler, signe de faim, et alla lui donner son petit encas. Ce petit Colour Point de un an avait été son meilleur ami, son confident et aussi son compagnon de vie; il répondait au doux nom de Baloo. Emi se leva, alla jusqu’à la petite cuisine et posa un peu de thon dans une petite assiette, un peu de nourriture pour chat dans un petit bol. Ce petit bol, Emily l’avait peint elle même un après-midi et y avait inscrit le nom dudit chat. Elle en était fière de ce bol.
Après l’avoir nourri, elle repartit dans son salon et regarda son lit : elle n’avait pas sommeil. Alors, elle décida d’aller se détendre et de prendre un bon bain dans sa belle baignoire récurée toute la journée. L’eau coulait, la pièce se réchauffait. Baloo fit son entrée, miaulant et ronronnant contre la jambe de sa maîtresse alors assise sur le rebord de la baignoire.

Emily - “Ah…. Baloo ? Tu as encore faim ? Mama ne vas pas te porter, non, elle va se dé-tendre !”

La jeune femme se leva d’un coup et éteignit l’eau chaude. Elle alluma quelques bougies, mit des sels de bain et se déshabilla. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas juste… profité d’un peu de repos. Elle n’avait pas pris de vacances en un an et demi, depuis qu’elle avait repris la librairie. Alors, elle se glissa dans son bain et se laissa aller dans l’eau chaude aux senteurs de pétales de rose et de fleurs de jasmin léger. Emily ferma les yeux.
Quand elles rouvrit, le chat dormait sur le tapis et quelqu’un toquait à la porte. Elle leva les yeux pour voir l’heure : il était maintenant quatre heures du matin. Mais qui faisait autant de bruit à sa porte ? Et qui insistait qui plus est. La jeune femme sortit du bain, s’enroula dans une serviette et mis sa robe de chambre en soie par dessus. Elle détacha ses cheveux et alla à la porte, découvrant un homme sur son paillasson. Emi ne connaissait pas cet homme, même si il avait l’air… familier. Il avait l’air perdu. Non, plus que perdu, il avait l’air sous l’emprise d’alcool.

Emily - “O-oui… Je peux vous aider ?” dit-elle alors d’une petite voix.

Elle se rapprocha de l’homme, reniflant un peu autour de lui : oui, il était définitivement sous l’emprise de l’alcool. Pour elle qui ne buvait jamais, ne sortait pas, c’était un comportement qu’elle ne comprenait pas. Comment quelqu’un pouvait-il se laisser aller à ce point ?

Emily - “Si vous êtes perdu, je peux vous laisser appeler quelqu’un qui pourra vous ramener…” lui lança-t-elle, resserrant un peu sa serviette au niveau de sa poitrine car cette dernière glissait.
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Ven 18 Jan - 1:12
Et hop. Grâce à ma dextérité sans faille, je ne tombe pas. Mon équilibre est précaire, je ne cesse de vaciller mais je suis toujours débout. J’ai « toujours la banane » comme dirait l’autre. Quoiqu’il en soit et pour une obscure raison, mon interlocutrice me hurle dessus. Elle veut m’aider dit-elle. Enfin je crois. Le ton employé ne correspond pas aux propos saisis par mes oreilles. Il y a donc deux possibilités : Ou bien j’ai mal compris – ce qui est très probable – ou bien mon ouïe est quelque peu déréglée. L’un dans l’autre, je fais face à un problème qui requiert une solution d’urgence. Comme le premier des malpropres, j’enfonce donc un doigt dans mon oreille gauche et tente de déboucher cette dernière. J’effectue la même manœuvre pour celle de droite. Dans le même temps, ma voisine de palier s’approche doucement. Par réflexe je ferme les yeux, m’attendant à recevoir une baffe ou un quelconque châtiment corporel pour l’avoir réveillé. Il n’en est rien. Mon odorat étant à peu près fonctionnel, je note que la demoiselle sent … Aucune idée. Mais ça sent plutôt bon. Tout le contraire de ma personne en somme.

Est-ce une façon de me menacer ? En tout cas, ça y ressemble bien. Je ferme les yeux un instant, les rouvre aussitôt et me concentre. Comme si cette procédure allait me permettre de gagner en lucidité. Ça a pas vraiment marché. Peut-être suis-je un peu trop bouteillé mais son iris droite n’est pas de la même couleur que celle de gauche. C’est bizarre. Ma voisine poursuit, toujours en hurlant. A croire que le lavage improvisé n’a pas eu l’effet escompté. Elle dit que tout est perdu et qu’elle veut appeler quelqu’un pour me ramasser ? La voilà même qui ressert sa serviette, visiblement gênée …
Et merde. Je crois que je comprends pourquoi elle me menace.

▬ Désolé, c’est un petit problème de chiffre. Les lettres, les chiffres. C’est compliqué à cette heure-là. Et vous pouvez arrêter de crier s’il vous plaît ? Il est tard, les autres doivent dormir en bas.  
Qu’on se le dise, la phrase prononcée a été trop longue. De fait, et au vu de mon état, il est probable que j’ai écorché des sons, mâché quelques syllabes, voire quelques mots. S’il est possible que la palabre ait été comprise, je doute que tout ait été parfaitement audible pour la jeune femme qui me fait face. En effet, j’ai volontairement parlé à voix basse pour ne pas ameuter le quartier.
A moins que j’ai hurlé. Qu’en sais-je. Ah et juste pour information : Je continue de vaciller. Je sens que je peux tomber à tout moment.
A. TOUT. MOMENT.
Emily Choi
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Emily Choi
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Emploi : Libraire
Emily Choi
Ven 18 Jan - 13:53


Aldarick


Emily

「 Qui êtes-vous ? 」
Lorsqu’il lui répondit, ses soupçons furent confirmés. Bel et bien alcoolisé et peu stable qui plus est. Emily regarda ses yeux, puis son visage entier, et le regarda enfin de haut en bas. Il dit s’être trompé ? De chiffres et de lettres ? Peut-être habitait-il pas loin ? Elle réfléchit et soudain, elle tilta : était-il ce fameux voisin d’à côté qui ne cessait de revenir tard, la derangeant tous les petits matins ? Plus elle réfléchissait, plus elle se rendait compte de ce fait, et plus elle était ennuyée. Soudain, son attention fut attirée par l’homme à sa porte, le voisin, qui tanguait et tanguait, menaçant de s’écrouler. Elle prit sa main, se colla à lui et passa sa tête sous son bras pour le supporter.

Emily - “Venez avec moi… Je vais vous installer sur le canapé.” lui dit-elle.

Il est sûr que s’ils restaient tous les deux sur la paillasson, avec le voisin qui criait et elle en petite tenue à la vue de tous, les autres voisins allaient les entendre. Donc, elle l’aida à tituber jusqu’au canapé confortable de son petit salon, le chat les regardant. Il parlait, mais elle n’écoutait pas vraiment : surement des protestations. En s’affalant sur le canapé, il fit sursauter Baloo. Emi en profita pour aller verrouiller la porte d’entrée et tirer le rideau devant cette dernière. Elle aimait ce petit rideau de couleur parme devant la lourde porte noire. Cela gardait l’ambiance de l’appartement, les couleurs et leur harmonie n’étaient pas d’un coup rompus par une porte noire. C’était vraiment un petit appartement féminin, bien rangé.
La jeune femme, après avoir fermé la porte, alla finalement éteindre ses bougies encore allumées dans la salle de bain, vider l’eau de la baignoire et rangea un peu. Elle revint voir le voisin alcoolisé sur son canapé. Il avait l’air peu confortable. Elle se disait que dans son état, peut-être n’en avait-il rien à faire d’être dans un canapé ou sur le sol, mais après réflexion, elle ne pouvait se résigner à juste le laisser là. Alors, elle alla vers lui, le reprit contre elle et le souleva.

Emily - “Par les cieux ! Vous êtes lourd !” grogna-t-elle en réussissant à le soulever.

Elle le fit marcher quelques pas vers la chambre et le posa sur le lit.

Emily - “Par chance, je soulève des lots de livres beaucoup plus lourds que vous” dit-elle en soufflant, “Vous serez mieux sur le lit avec Baloo.”

Emily ne le laissa pas complètement à l’horizontale et le mis en position semi-assise, au cas où il serait nauséeux. Elle alla chercher une bassine, de l’eau, et disposa tout ça à sa portée. Elle ne savait pas vraiment comment “gérer” ce genre de choses, mais se rappelle que c’est ce que sa mère faisait pour son père avant qu’ils ne se séparent.
La libraire finit par s’asseoir par terre, dos au mur, sous la fenêtre, près du lit. Baloo vint contre elle. Il se mit à ronronner, et elle leva les yeux vers le voisin.

Emily - “Vous ne criez plus. Vous savez où vous êtes ? Vous allez mieux ?”

Elle avait peu d’espoirs qu’il ne réponde correctement à sa question, ou même qu’il aille mieux.
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Sam 19 Jan - 18:15
Je n’ai pas envie de dormir. Certes mes paupières se ferment d’elles-même mais je dois encore retourner chez moi. Sauf que bah. Dans cet état, faire trois pas, c’est dur. Vraiment dur. Mettre un pied devant l’autre relève de l’exploit, surtout quand on sait que j’ai du mal à ne serait-ce que tenir debout. Mon interlocutrice le voit bien et prend donc les devants.
▬ Blbllblblblbl.
Traduction : « Vous ne devriez pas essayer de me porter, vous allez vous brûler et en plus je suis trop lourd pour vous ». Trop lourd, trop lourd. C’est vite dit. La voisine parvient à me traîner jusqu’au canapé sans se brûler. Plutôt forte la petite dame. Heureusement, mon corps est alcoolisé comme rarement auparavant sans quoi ses dextres et avants bras auraient été gravement touchés. Allongé, je me commence à fermer les yeux et à somnoler. Le semblant de lucidité qui me restait s’évapore et mon esprit s’en va rejoindre un autre monde. Pour un moment du moins.

***

Dix heures du matin.

Il fait jour et je me lève avec un mal de crâne sans pareil. J’ai comme la sensation qu’un petit lutin s’est infiltré dans ma boîte crânienne et s’est amusé à taper, taper, encore et encore. Je pue l’alcool … Il faudrait vraiment que j’arrête ces petites virées nocturnes. Pour la millionième fois, je jure de ne plus me rendre au bar. C’est assurément le millionième mensonge. Je tourne machinalement la tête de droite à gauche et constate que cette demeure n’est pas la mienne. Cette pièce est trop propre, trop bien décorée et trop bien rangée pour être ma piaule. Il y a comme qui dirait un petit problème. J’essaie de me remémorer les évènements de la veille, sans grand succès ; Après avoir quitté la chambre, je découvre un salon et un chat. Je n’ai jamais eu de chat ni aucun autre animal de compagnie de ma vie. Super. A en juger par la décoration, cet appartement appartient à …
▬ Une fille.
La voisine est devant moi, en petite tenue. Et j’étais dans son lit il y a à peine vingt minutes.
Et merde. Qu’est-ce que j’ai fait ? Avec ma voisine … Et une humaine en plus. Le chat n’a pas l’air de m’apprécier. C’est sûrement révélateur. Cette fois, c’est décidé. C’est vraiment la dernière fois que je me bourre jusqu’au bout de la nuit. Quoique. Tout espoir n’est pas perdu. Tout ceci n’est peut-être qu’un gigantesque malentendu !
▬ Bonjour, je … Enfin. On est restés longtemps ici ?
Pitié, faites qu’elle dise que je me suis évanoui devant chez elle vers neuf heures et qu’elle m’a ramené pour me « soigner ». En une heure, je n’ai quand même pas eu le temps de faire ce que je pense avoir fait ? QUAND MEME.
Emily Choi
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Sam 19 Jan - 18:58


Aldarick


Emily

「 Qui êtes-vous ? 」
Emily s'occupa de son cher voisin après l'avoir mis sur le lit . Elle l'avait aidé à boire de l'eau, et s'est inquiètée de le voir se réchauffer un peu. Pensant que c'était quelque chose de normal quand l'alcool disparaissait du système, Emi le laissa sur le lit après qu'il se soit endormi. La jeune femme se dirigea vers son armoire, se retourna vers le lit pour vérifier qu'il dormait, puis enleva sa serviette de bain, enfila une nuisette car elle n'avait pas de "réel" pyjama. Après, elle alla sortir un petit matelas fin et dormi sur le sol, près du lit.

*******
Dix heures du matin

Emily était réveillée depuis vingt minutes quand son voisin ouvrit les yeux. Elle avait rangé la maison, son petit lit, et avait commencé à cuisiner le petit-déjeuner. Du bruit se fit entendre, alors la libraire se lança sur sa robe de chambre, mais elle ne fut pas assez rapide car en face d'elle était un homme avec la chemise défaite, passant sa main dans ses cheveux. Elle rougit.

Aldrick - "Bonjour, je … Enfin. On est restés longtemps ici ?"

Il ne se souvenait pas ? Il n'avait pas l'air, non.

Emily - "...?"

Elle réfléchit et ferma sa bouche très rapidement. Cet homme.... Il l'avait bien ennuyé hier, temps pour elle de jouer un peu avec lui ! C'est le moment de rigoler.

Emily - "Hm... Vous, enfin, je peux bien me permettre de te tutoyer maintenant... après la nuit d'hier..." dit-elle en rougissant, serrant sa spatule contre sa poitrine, elle se mit à sourire, "Quand tu es arrivé chez moi hier... J'étais surprise, il était tard... Je suis bien contente de t'avoir laissé rentré... Mais la prochaine fois, hm.."

Emily se rapprocha de son voisin planté là, dans le salon, et alla murmurer dans son oreille droite.

Emily - "Défaisons le lit avant tout, la prochaine fois." dit-elle en souriant et rougissant.

Elle repartit ensuite, fière d'elle, finir de cuisiner. Emi faisait des œufs sur le plat, faisait moudre du café et faisait un assortiment de légumes et des toasts.

Emily - "Tu peux m'appeler Emi... J'ai cru comprendre que tu aimais bien ce surnom la nuit dernière... hehe."


Pour l'avoir dérangée dans son bain, il allait payer. Emily n'aimait pas être malicieuse, ou mauvaise avec les gens. Non, elle est tout le contraire même. Aimer, donner sans attendre en retour, c'est tout Emily. Mais cela fait longtemps qu'elle n'avait pas eu l'opportunité de bien rigoler. Elle n'en a jamais l'opportunité même. Son lieu de travail, quoique proprice aux bonnes rencontres intellectuelles, ne permet pas qu'elle puisse se laisser aller à "jouer" ou rigoler. Aussi puéril que c'était, elle s'apprêtait à laisser sortir le petit démon qui sommeillait en elle, tout en restant un minimum... correcte, dira-t-on.
 
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