Now ★ Des jaillissements d'aurore (noctae) Les premiers rayons du soleil. À l'aube de cette énième journée, tu laisses tes pas guider ton chemin. Ils s'aventurent. Ils errent. T'emmenant dans un endroit que tu commences à connaître. Cet endroit où tu as décidée de te rendre il y a un an déjà. Dans l'espoir de devenir plus forte. Pour apprendre ce que tu ne sais pas encore. Cet endroit où la sueur règne. Le sang parfois et les coups. Tu ne connaissais pas ce genre de lieux avant de t'y rendre. Avant de le voir sur le ring. C'est une inspiration. Un modèle quelque part. Tu retrouves ici le moyen de te défouler. De t'endurcir. De fuir aussi.
Un an déjà. Que tes yeux l'observent.
Dans un coin, tu le fixes souvent. À chaque fois que tu viens. Aujourd'hui, ce ne sera probablement pas différent. Tes yeux suivront encore ses mouvements. Son dos. Ses gestes. Pour apprendre. C'est une des raisons qui te font venir de si loin. Inspirant longuement, tu arrives enfin. Il est plus tôt que d'ordinaire alors que tu pousses la porte. D'un regard, tu cherches une âme. Une présence. Quelqu'un, mais tu ne vois personne. C'est étrangement relaxant alors que tu t'engouffres pour aller te changer. Dans un silence pieux, tu t'équipes avant de ressortir. Pendant un bref instant, tu erres à nouveau. Détaillant les pièces que tu passes avant d'y arriver. Elle se dévoile sous tes yeux. Cette salle. Les sacs. Les bancs. Les rings. Les chaises. Un sourire étire vaguement tes lèvres. C'est si calme. Un calme qui se brise lorsque tu le croises. Ton regard l'accroche au détour d'un sac. Il est là. D'ordinaire, tu ne dis rien. Tu ne fais rien. Tu ne t'approches pas. Tu ne fais que le voir de loin, mais cette fois-ci tu fais un pas. Il semble blessé. Sûrement de son dernier combat. « Salut... tu ne devrais peut-être pas venir t'entraîner dans ton état. » Des premiers mots. Lancés au hasard.
Seulement parce que ses blessures te sautent aux yeux. Peut-être que c'était une défaite. Tu n'oses pas demander. Tu ne sais pas bien pourquoi tu viens lui parler pour la première fois après tout ce temps. C'est stupide en y pensant, mais cela te semble opportun. Doucement, tes mains viennent attacher tes cheveux enflammés alors que tu l'observes. Encore. « Ton dernier combat était difficile ? » il ne connaît pas ton nom. Tu connais vaguement le sien. Il ne sait pas qui tu es. Tu ne connais que le combattant. Une conversation bancale. Tu marches sur un fil, Brune. En venant ainsi lui imposer ta présence. Au fond, tu ne crains guère un refus ou l'ignorance. Tu n'en as cure s'il ne répond pas. Tu vois juste ici le moment de lui parler enfin. Après ses longs mois déjà égarés. « Je n'ai pas pu voir le dernier et vu ton état... je me demandais. Désolée, tu n'es pas obligé de me répondre. » une illumination qui sait. Juste des mots légers que tu laisses échapper en songeant à ce que tu fais. À ton intrusion soudaine. Elle semble incongrue et dérisoire maintenant. Tu ne sais pas bien pourquoi tu as envie d'être sociable. Probablement parce que le temps a passé. Que les ennuis de ton passé commencent à s'effacer doucement. Sûrement oui, parce que tu es plus sereine aujourd'hui. Après deux ans, il était temps.
Alors tu oses.
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Lun 28 Jan - 20:26
ϟ De quelques simples gouttes à des marées humaines
Le soleil se lève difficilement. Tout comme toi qui reste dans ton lit douillet. Tes yeux qui s'ouvrent petit à petit. Tes mains qui flottent tes joues délicatement, c'est une journée des plus banale, mais pas tout à fait puisque aujourd'hui, comme pratiquement tous les jours, tu te rends à la salle de boxe.
Il était tôt, très tôt même. Mais tu aimais bien la sensation d'être seul au monde dans une immense salle de sport. Lorsque la porte s'ouvre, tu te changes en vitesse afin de t'échauffer à minimum, pour le match que tu allais sans doute disputer. Tu te défoules en frappant fort. Tu fais des pompes, puis de la course. Quelques minutes après ton échauffement, un homme se présente devant toi afin de se mesurer à toi. Tu hausses les épaules, puis le suis. Sur le ring, tes bras et tes jambes se mettent en position de combat. Ta tête esquive difficilement les frappes de ton adversaire, ton corps est frêle, tes yeux ne suivent pas. Aussitôt tu prends de plein fouet un coup à la mâchoire. Sur le coup, tu recules, car tu as été surpris. Mais toutefois, ton pied se met soudainement à valser sur le côté pour ensuite venir frapper au visage de ton adversaire. Tu recules et lui aussi. Puis bam, ton visage percute une nouvelle fois sa jambe. Après de longues minutes, le match se termine.
Quand tu sors du ring, tu prends ta serviette afin de la mettre autour de ton cou. Ta bouche est en sang tout comme ton œil gauche qui a prit un bon coup. Tu souffres, mais tu ne te plains pas, tu te contentes seulement de regarder les autres se battent. Quand soudainement..
" - salut... tu ne devrais peut-être pas venir t'entraîner dans ton état. "
Tes yeux l'observent avec une grande attention comme si tu étais envoûté. Mais pas tout à fait, tu essaies avec beaucoup de mal de te souvenir d'elle, car évidemment, elle te dit quelque chose. Ses longs cheveux rouges te dis quelque chose, mais hélas impossible de savoir qui s'est. Cela doit être une femme qui pratique de la boxe depuis un moment, mais peu importe cela ne t'importe peu. Tu te caresses les lèvres puis souris doucement.
" - ton dernier combat était difficile ? "
Tu te lèves doucement afin de mettre en face d'elle. Tes yeux changent peu à peu d'expression. Tu ne sais pas trop pourquoi elle te pose cette question. Surtout qu'en te voyant en te devrais deviner que oui. Il a été difficile, ton adversaire était plutôt pas mal niveau technique, mais niveau vitesse, tu es largement au-dessus de lui. Tu le savais pertinemment donc tu soupires " si j'ai un conseil à te donner, méfie toi toujours tes apparences mais surtout soit toujours sur tes gardes "
" - je n'ai pas pu voir le dernier et vu ton état... je me demandais. désolée, tu n'es pas obligé de me répondre "
Difficilement, tu ne peux t'empêcher de laisser passer un léger ricanement. Être aussi .. Enfin être curieuse n'est pas un défaut, surtout que tu l'es aussi parfois. Tu retires ta serviette afin de la poser sur ton épaule gauche. Tes lèvres rouges, tu essaies d'un peu être joyeux " pas la peine de d'excuser, reste juste toi-même. Et oui le combat a été difficile enfin tu le vois bien vu mon état des plus pitoyables " Tes mains se posent sur tes hanches, puis ton regard se balade de droite à gauche espérant enfin la reconnaître "j'ai la forte impression de t'avoir déjà vu, tu viens souvent ici ? " Étonnement, tu te mets à lui parler alors que d'habitude tu aurais voulu être seul.
Now ★ Des jaillissements d'aurore (noctae) Il y a un bref ricanement de sa part. Léger et éphémère. Il vient et repart. Sans gêne, il répond à tes questions et tu souris légèrement. Tu le pensais plus distant. Probablement dû à sa manière de regarder les autres. Il a l'air d'être quelqu'un de solitaire. Quand on le voit pour la première fois. Il semble avoir bien du mal à te reconnaître. Tu ne le prends pas mal, Brune. Tu ne fais que passer. Boxer. Puis rentrer sans un mot. Tu apprends juste à te défendre. Tu ne viens pas spécialement te faire des amis. Bien que tu ne sois pas associable, tu réponds lorsque l'on te parle. « Je prends note du conseil, merci. » un bref sourire, encore. Il est amusant quelque part.
La différence entre la réalité et la pensée.
Il est différent alors cela t'amuse. Te rassure un peu aussi. Il ne cherche pas à partir. À se débarrasser de toi. Alors tu peux lui parler. Pour la première fois. C'est grandement pour lui que tu es venu ici en particulier. Pour le voir combattre. Parce qu'il te fascine sûrement quelque part. Il n'est pas aussi imposant que certains, mais il n'est pas mauvais. Même s'il ne gagne pas à chaque fois. Comme tout le monde. L'humain. Il gagne puis perd la seconde d'après. C'est le lot de la vie. Du quotidien. « Est-ce que ça va aller ? Tu restes là malgré ton état alors... » tu te demandes, oui. Si tout va bien. Si tout est ok. S'il a besoin d'aide ou non. Bien que tu ne sois pas une professionnelle, tu sais panser les plaies. Tu en as régulièrement. Rien que pour la seconde partie de ton boulot. Foutre des mecs ivres dehors... ils ne sont pas violents pour la plupart, mais ils végètent. Tanguent et peuvent être dangereux à leur manière. « Je viens ici depuis un an à peu près. On va dire que j'apprends à me défendre, ça peut être utile dans la vie d'une femme. » un faible rire. Presque inaudible. Effectivement, il est parfois utile de savoir se battre. « Et puis, mon boulot me demande parfois de m'occuper de sortir certaines personnes alors... »
Tu parles.
Beaucoup. Ce n'est pas rare, mais c'est assez peu conventionnel de te voir discuter pour ne pas crier. En général, tu parles énormément lorsque tu hurles. Sous l'effet de la colère. « Et toi, ça fait longtemps que tu viens ici ? Je te regarde parfois t'entraîner. Ça aide de prendre exemple sur les autres de ce que je sais. » avec tout cela, tu ne donnes pas ton nom et lorsque tu t'en rends compte, tu souris. Tendant une main amicale. Comme le ferait les hommes. « Je suis Brunehilde, mais tu peux dire juste Brune, c'est plus simple. » la base. Une base qui vient en retard. L'essentiel c'est sûrement que tu finis par le dire. Par le donner. Pour qu'il n'ait pas besoin de dire hé toi quand il te croise. Moins impersonnel. « C'est assez bien de venir ici quand il n'y a pas grand monde. Alors en venant aussi tôt, je ne m'attendais pas à te voir en combat. » bien que ce ne soit pas rare, tu ne t'y attendais vraiment pas. Tu pensais trouver les lieux désert. Simplement désert.
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Lun 18 Fév - 20:32
ϟ De quelques simples gouttes à des marées humaines
Tu es un vrai sauvage quand t'il s'agit de boxer. Tes pensées se transportent dans un autre monde, ton petit monde à toi. Ce monde si magique, fantastique. En réalité, tu es un vrai rêveur. Parfois, de ta fenêtre, tu imagines ta prochaine vie, une vie dans le futur. Où les voitures voleraient, où la technologie serai beaucoup plus avancé que maintenant. Cependant, très vite, après ton match, tu commenças à respirer fort, tellement fort que si doucement le silence s'installerait, tout le monde l'entendrait, ton souffle.
Soudainement, tes yeux se lèvent. Quand tes oreilles entendent des légers bruits de pas en ta direction. Une femme. Au début, tu fronces un sourcil, surpris, car couramment, personne ne vient vers toi, pour cause, ta froideur. Au début, tu fronces un sourcil, surpris, car couramment, personne ne vient vers toi, pour cause, ta froideur. Surtout une femme. C'est tout bonnement surprenant. Tes lèvres rouges, tu poses l'une de tes mains dessus. Tu la frottes sur celle-ci en sorte que le sang disparaît davantage. Au fond, tu es un peu gêné qu'elle te voit dans cet état-là, dans cet état des plus pitoyable. Ce combat fut vraiment difficile pour toi. Tes jambes suivaient, mais pas ton esprit malheureusement. Tu ne sais pas vraiment si elle a suivi ton math. Tu ne sais rien.
Ton regard se promène un peu partout. Tu l'observes, lui donnant au passage un petit conseil d'ami. Celle de toujours se méfier des apparences, cette phrase te correspond à cent pourcent puisque souvent, à cause de ta petite taille, on pense que tu es combattant mauvais. Mais non loin de là. Ensuite celui de toujours rester sur ces gardes. Alors là, cette fin de phrase est sortie toute seule.
" - Je prends note du conseil, merci. "
Tu ne contrôles pas ta stupide bouche. Elle bouge toute seule, comme celle d'une machine. Tu regrettes. Chaque mot sorte au hasard, tu ne réfléchis pas avant de lui répondre. Tout sort au pif, tant pis si tu la blesses, tu n'as absolument rien à perdre. La solitude ne t'a jamais fait peur, tu n'as jamais souffert de ça. De vivre dans une grande demeure sans aucune âme à tes côtés. Oui jamais.
" - Est-ce que ça va aller ? Tu restes ici malgré ton état alors.. "
Elle s'inquiète pour toi, de ton état lamentable. Cela doit lui faire de la peine de te voir ainsi taché de sang partout sur le visage. Mais c'est ainsi, la boxe est un sport de force, de mental. Si tu abandonnes, c'est foutu. Surtout, que dans ton cas, la boxe est une chose assez importante. Comment se défendre si on te poursuit dans les rues lorsque tu voles ? Ta force doit être utilisée pour cela. Au cas où, on ne sait jamais ce qui peut arriver.
" - je viens ici depuis un an à peu près. on va dire que j'apprends à me défendre, ça peut être utile dans la vie d'une femme. " " - effectivement, il est parfois utile de savoir se battre. « et puis, mon boulot me demande parfois de m'occuper de sortir certaines personnes alors... "
Elle ne s'arrête pas
Debout, tes jambes commencent à se fatiguer. De plus, celle-ci ne s'arrête pas de parler. Sans presque faire de pause. Ton corps est lourd, alors d'un geste brusque, tu te rassis sur le banc. Mettant tes mains sur tes joues, afin de maintenir ta tête entre celles-ci.
" - toi, ça fait longtemps que tu viens ici ? je te regarde parfois t'entraîner. ça aide de prendre exemple sur les autres de ce que je sais "
D'un coup, ton regard se fige sur la demoiselle. Tes bras contre ton torse légèrement musclé. Tu remarques à peine que oui, elle te dit vraiment quelque chose. C'est vrai que maintenant que tu y réfléchis un peu plus, tu l'as déjà vu plus d'une fois te regarder. Mais disons que tu n'as pas une mémoire visuel très performante. Pas du tout même. Donc à partir de là. Ta bouche s'ouvre doucement, mais aucun mot n'y sort. Tu aurais bien voulu lui dire « oh, mais oui bien sûr que je me souviens de toi ! » Hélas, non, alors doucement, tu refermes ta bouche fessant comme si rien ne s'était produit.
" - je suis brunehilde, mais tu peux dire juste brune, c'est plus simple. "
Silence
" - c'est assez bien de venir ici quand il n'y a pas grand monde. alors en venant aussi tôt, je ne m'attendais pas à te voir en combat. "
Tant de questions en peu de minutes. Hélas ton cerveau est déjà parti depuis un bon moment. Toutefois quand t'elle s'arrête enfin, tu te mets à te concentrer. Mais une douleur immense s'installe petit à petit. Un mal de crâne pas possible non pas à cause de la brunette. À cause des coups que tu étais victime il y a, à peine quelques minutes. Tu glisses l'une de tes mains sur ta tête tout en grimaçant " Je.. Euh.. Je ne vais pas te mentir que j'ai un peu mal mais je fais avec "
Tant d'hésitation dans tes paroles. Tu baises le regard, non par gêne, juste parce que tu as pour habitude de ne pas regarder les personnes lorsque tu leur parles. D'une certaine manière, c'est d'un mal poli. Tes yeux se ferment durant quelques instants " Ça y est je me souviens un peu de toi.. C'est vrai que parfois je te voyais me regarder mais rien de plus. Surtout que moi je ne suis pas le style aller à vers les autres " lui dis-tu en marmonnant." Tu poses beaucoup trop de questions à mon sujet suis-je si doué que ça ? " continues-tu en marmonnant.
Silence, plus un bruit. Tes oreilles se concentrent sur le son, les voix puis bam " Je blague, moi c'est Liam "
Tu relèves la tête. Puis sans réfléchir, tu lui souris gentiment. Un petit sourire comme on les aime. Tes mains passent derrière ton dos. T'aidant ainsi à te relever du banc. Afin de lui faire face. Tu veux lui parler face à face. À ça, tu es plutôt doué. Donc tu n'hésites pas à le faire contre elle " Tu serais donc intéressé à te battre contre moi ? Ou que je te donne quelques petits conseils pour ton boulot "
Now ★ Des jaillissements d'aurore (noctae) De longues secondes passent. Sans un mot. Peut-être qu'il en a déjà marre à présent. De t'entendre lui parler sans arrêt. C'est juste que c'est la première fois qu'il te laisse l'approcher. Ou que tu fais l'effort de venir à dire vrai. La première fois que tu fais un pas vers lui. Pour en apprendre d'avantage. Alors les mots sortent d'eux-même. Incapable de s'arrêter. Mais il ne répond pas de suite, laissant du silence avant de reprendre. Il s'est assis, tu as remarqué. Il ne semble pas en grande forme à présent. Jusqu'à ce qu'il te le confirme ensuite. « Tu veux quelque chose ? » que tu demandes directement quand sa voix se meurt. Tu ne sais pas bien ce dont il pourrait avoir besoin, mais tu préfères demander. Quitte à ne pouvoir rien faire ensuite. Seulement des mots.
Il hésite avant de reprendre la parole. Il se souvient de toi. Vaguement. C'est assez pour te faire sourire brièvement. Il est amusant, encore une fois. Tu te fais la réflexion à nouveau. Cette fois-ci, tu ne dis rien. Le laissant cheminer sa pensée jusqu'au bout. Jusqu'à se présenter. Jusqu'à te demander si tu veux te battre ou apprendre de lui. Sa petite blague t'arrache un léger rire au passage. Tu passes une main dans la crinière rougeâtre avant de lever les yeux sur lui. Il s'est relevé pour te parler face à face, mais tu sais qu'il ne se sens pas bien. Alors sans un mot, tu viens t'asseoir sur un morceau du banc. « Je te trouve assez fascinant sur le ring. Je ne sais pas si c'est parce que, physiquement, tu ne ressembles pas à ses grosses armoires ou non. Mais je ne sais pas... il y a quelque chose d'agréable à te regarder boxer. » honnête. C'est rare de te voir faire autant de compliments. Bien qu'ils soient assez vagues. Tu le respectes, Brune. Quelque part, oui. Tu as du respect pour son acharnement. « Je ne sais pas si j'ai envie de me battre contre toi, mais j'aimerais bien avoir des conseils pour commencer. » tu penses. Une mine pensive se dessine d'ailleurs sur tes traits. Un combat ne serait sûrement pas une mauvaise idée. On dit souvent que c'est en pratiquant que l'on apprend. Mais dans l'état actuel des choses, ce n'est peut-être pas la meilleure solution. « Disons que pour l'instant les conseils ça ira, mais... peut-être que quand je serais meilleure au combat, pourquoi pas. » un sourire.
Fin et agréable.
À l'image de celui qu'il t'as offert plus tôt. Tu l'observes une seconde avant de continuer. « Aujourd'hui, tu devrais plutôt te reposer. Ça ne presse pas vraiment. Et puis, je reviendrais forcément alors pas besoin de se hâter, non ? » tu n'as pas envie de l'ennuyer avec ça. Pas dans son état.
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Liam ϟ De quelques simples gouttes à des marées humaines.
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Les premiers rayons du soleil. À l'aube de cette énième journée, tu laisses tes pas guider ton chemin. Ils s'aventurent. Ils errent. T'emmenant dans un endroit que tu commences à connaître. Cet endroit où tu as décidée de te rendre il y a un an déjà. Dans l'espoir de devenir plus forte. Pour apprendre ce que tu ne sais pas encore. Cet endroit où la sueur règne. Le sang parfois et les coups. Tu ne connaissais pas ce genre de lieux avant de t'y rendre. Avant de le voir sur le ring. C'est une inspiration. Un modèle quelque part. Tu retrouves ici le moyen de te défouler. De t'endurcir. De fuir aussi. 
