La zone délimité nord se distingue en trois parties. La première étant le désert d'Hūrae, reconnu pour son côté mystérieux et surtout, imprévisible. La seconde zone, en descendant vers le sud, est la forêt Papuere, régis par son gardien, il garde précieusement le côté sacré du lieu. Pour finir, on trouve à l'orée de la forêt la capitale Native, Nagaraṁ, érigé autour d'un arbre d'une importance colossale.
L'ouest est certainement la partie de Gahia-Li où se trouve le plus de ressources aquatiques. Premièrement, il y a la mer qui d'un bleu quasi-translucide accompagne son gardien avec autant de tempérament. Les plages Āperira et la plaine Mei, coupées en deux parties par la rivière Hepetema, descendant à grande vitesse des monts Oketopa laisse le paysage ce formé en un rêve idyllique.
Le centre de la carte est une région qui abrite le plus de population. On y trouve deux principaux endroits pour le religion et la politique du monde. Premièrement, les Montagnes Oketopa, où les pics rocheux recouverts de neige semblent transpercer le ciel. Puis l'immense volcan Ākuhata que l'on entend encore au loin grogner. Aux extrémités des montagnes (respectivement ouest et est) on y retrouve la capitale humaine, Nui et la ville secondaire humaine, Ora.
L'est ne laisse place qu'à une grande zone propice aux différentes cérémonies et autres rituels, la praire Hune. Verdoyante et accueillante, elle est l'une des plus grandes zones après la région polaire Thema.
Le sud, est, tout comme le nord, décomposé en trois parties. La plus grande zone de Gahia-Li se trouve à l'extrême sud, la région polaire Thema. Recouverte quasiment totalement de glace, elle est d'une dangerosité extrême. À l'entrée de l'étendue de glace se trouve le grand Lac Hānuere, deuxième plus grande étendue d'eau après la mer Maehe. Enfin, on y trouve à l'orée du point d'eau, la seconde cité native, Tāhura.