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« La poésie est une religion sans espoir. » - Caleb
Keridwen Caldin
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Humaine
Keridwen Caldin
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Emploi : Electromécanicienne
Keridwen Caldin
Mer 23 Jan - 21:42

YILMAZ
Caleb

CALDIN
Keridwen

「 « La poésie est une religion sans espoir. »」

Visiblement, les prophètes étant trop sollicités, je ne pouvais pas réellement faire un tour dans la salle de Seren. Je grimaçais à l’idée. Pourtant j’aurai bien aimé lui poser des questions à lui aussi. Valara m’avait pas mal aidé déjà. Je grattai ma nuque en soupirant. Tant pis, autant accomplir ma deuxième mission que je m’étais fixée ici. Aller voir Caleb. Mon sac sur l’épaule, je laissais les gardes me fouiller, alors que j’entrai en lançant d’une voix forte, presque militaire.

« Yilmaz. Bonjour. »

Bon, j’avouai clairement que ça détonnait avec ma voix douce. Surtout que Caleb en avait gardé un souvenir depuis la dernière fois. Et qu’elle ne devait pas avoir beaucoup changé depuis le temps qu’on se connaissait. Fermant la porte derrière-moi, je glissais mon sac sur la table. Jetant un coup d’œil aux menottes du jeune homme. Je n’aimais pas le voir comme ça, il n’était clairement pas un criminel. Pas lui. Enfin, c’est ce que me disait mon instinct, je n’étais peut-être pas excellente en relation sociale mais quand même… Quand mon instinct me parlait, c’était souvent pour mes inventions et là… C’était plus ou moins le même ressenti. Je soupirais avant de m’assoir, commençant à sortir de quoi manger de mon sac. Oui, j’étais vraiment une pote sympa. Je débouchonnais la bouteille d’eau et la lui plaçais entre les mains alors que j’avançais les quelques conneries que j’avais pu lui apporter près de ses mains.

« Je me suis dit que tu devais avoir faim. »

M’installant correctement dans mon siège, j’esquissais un sourire. Il pourrait aussi bien m’envoyer chier mais quelque chose me disait qu’envoyer chier peut-être une de ses rares alliés au sein de ses murs n’était pas la meilleure option. Je contemplais son visage en silence. Caleb, tueur ? La simple idée me faisait réellement sourire, peut-être à une époque, oui. Maintenant, il me semblait encore juste comme l’adolescent brisé de l’hôpital. Juste écorché vif. Attendant que sa carapace le protège... Quand j’y pensais, lui aussi il était peut-être nul à chier dans les relations sociales. Bref… Je n’étais pas là pour ça. Je lançais alors un brin moqueuse envers l’ex-militaire.

« Qu’est-ce que tu as encore foutu ? »

Caleb Yilmaz
Caleb Yilmaz
Humain
Caleb Yilmaz
Caleb Yilmaz
Emploi : Mineur
Caleb Yilmaz
Jeu 24 Jan - 12:51
LA POÉSIE EST UNE RELIGION SANS ESPOIR

Les heures passent, rythmées au son des portes qui s'ouvrent, des gens qui s’agitent et des questions qui volent. Questions qui n'ont de réponses que des « je sais pas », des haussement d'épaules ou quelques phrases cyniques, provocantes et vulgaires. J'estime avoir assez coopéré jusqu'ici, rien de plus à apprendre, des questions sans intérêts au vu du manque de preuves considérables. Je n'étais pas sur les lieux, je n'avais aucun mobile, et je n'ai pas tué cette prophétesse.
Mais il faut bien quelqu'un à accuser, c'est pour ça qu'on est tous là, parce qu'il faut bien pointer du doigt quelqu'un alors autant que ce soit un minimum crédible. Des gens haut placé, des bagarreurs, des fouineurs, ceux qu'on rien à perdre, ceux qu'on beaucoup à y gagner, natifs ou humain, au final c'est la même chose.
Alors, j’attends que ça passe.
J’attends le verdict sans savoir à quoi m'attendre. Quelqu'un ici ne repartira pas mais ce ne sera pas moi. Payer pour les autres c'est pas vraiment dans mon délire. Avachi sur la table, les yeux fermés, je me redresse au bruit de la porte qui s'ouvre. Encore. Je soupires avant même de voir mon visiteur, certain que ça allait encore être éprouvant, que ce soit un vieux souvenir surgissant du passé ou quelqu'un acharné à trouver un coupable.
Au point ou j'en suis de toute façon.
Mais cette intrusion ci est différente.
Keridwen.
Masquant à peine ma surprise face à son entré et au ton solennel qu'elle m'a adressé, je la fixe prendre place devant moi et me sortir tout un tas de ravitaillement. Je crois que je m'attendais à beaucoup de choses mais pas à ça. Dans le fond c'est à la foi réjouissant de voir qu'on veut me soutenir, mais c'est aussi assez gênant de se retrouvé sur le banc des accusés. Même si je ressors libre d'ici, je sais que pour beaucoup de gens dehors, je resterais comme le suspect d'un meurtre horrible.
Content de voir que y'en a qu'ont quand même un minimum d’estime de moi.
Je lui glisse un sourire en attrapant la bouteille d'eau, décidé à relâché la pression.
« Je sais pas, aux dernières nouvelles parait que j'ai tué quelqu'un. »
Humour et ironie. Mais c'est exactement ce qu'on me reproche. Un truc que j'ai pas fais, j'ai passé la journée à le brailler à qui veux l'entendre je crois que tout le monde l'a compris, alors un peu d'ironie ça fait de mal à personne, c'est même plutôt nécessaire pour pas finir violent et vulgaire.
« Je dois avoir une bonne tête de coupable ça fera vendeur aux infos et ça passera mieux qu'un de ces deux prophètes intérim à la con ou que madame conseil des quatre. »
Étrangement, je ne vois pas les gens profiter d'un tel scandale sans risquer de déclencher une guerre ouverte..
« T'es venu faire ton enquête toi aussi ? »

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Keridwen Caldin
Keridwen Caldin
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Keridwen Caldin
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Emploi : Electromécanicienne
Keridwen Caldin
Jeu 24 Jan - 19:50

YILMAZ
Caleb

CALDIN
Keridwen

「 « La poésie est une religion sans espoir. »」

Je souris à ses remarques, ouvrant un sac de chips pour commencer à grignoter avec lui en écoutant son récit. Haussant un peu des épaules à ce qu’il disait, tuer quelqu’un. Peut-être quelqu’un comme lui en avait tué. Sous des ordres. Mais pas maintenant, Caleb n’avait pas de motif. Il n’avait rien du tout, que dalle. Et ça je le savais.

« Si c’était seulement quelqu’un, ils nous auraient pas convoqués pour trouver le coupable. »

Je le regardai l’air de dire que c’était effectivement un brin plus grave que ce qu’il laissait entendre. Cependant l’entendre dire qu’il avait une tête de coupable ne me plaisait pas, ma main droite vint à s’approcher de son visage. Mon index et majeur effleurèrent sa cicatrice, je remarquai alors combien j’avais encore les mains gelées. La différence de température entre lui et moi, réalisant mon geste, je repliai mes doigts. Peut-être n’aurais-je pas dû ? Je n’étais pas si « proche » de lui. Me retenant de mordre à ma lèvre, je choisis la taquinerie pour fuir.

« Arrête, Caleb. T’as tête est plutôt sympathique à regarder. »

Il fallait être honnête. Si j’avais pu avoir un crush sur lui à l’époque où ce n’était qu’une plaie rougeoyante et qu’il était aveugle, le voir ainsi était bien plus réconfortant. Je piquai une nouvelle chips en l’observant.

« Si la question est-ce que je te soupçonne. La réponse est non. A aucun moment, cela ne m’a semblé probable que cela soit toi. A vrai dire, je ne soupçonne aucun humain. »

Continuant à grignoter, j’étais face à lui, plongeant mon regard dans le sien calmement, je savais que cela devait l’énerver d’être là. Mais je savais aussi pourquoi on pouvait le soupçonner, son passé. Frottant mes mains pour les réchauffer, inconsciemment.

« Raconte moi tout. Vas-y, crache un peu de ta haine sur la Justice si parfaite de Gahia Li. »

Je commençais à soulever sur mes mains à travers mon énorme gilet pour tenter de m’aider à me réchauffer. Je détestais le fait d’avoir si froid dernièrement, c’était agaçant.
Caleb Yilmaz
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Humain
Caleb Yilmaz
Caleb Yilmaz
Emploi : Mineur
Caleb Yilmaz
Lun 28 Jan - 11:00
LA POÉSIE EST UNE RELIGION SANS ESPOIR

Elle a presque l'air sérieuse à défendre ma tête de suspect. Mais à travers ses yeux, personne ne doit avoir l'air vraiment suspect. Je suis presque certain qu'elle fait parti de ces gens qui voient le bien partout, qui ne se méfient pas assez ou qui s'imaginent que les choses ne sont pas si horribles. D'ailleurs, elle ne soupçonne aucun humain, c'est bien la preuve que je dois avoir un peu raison.
Personnellement je serais plus du genre à soupçonner tout le monde en faite.
J'étire un sourire face à son optimisme et en profite pour piquer dans le paquet de chips qu'elle avait apporté. Savourant ce seul petit moment de plaisir dans la journée.
« J'crois que je suis même plus en colère. Je l'étais quand ils sont venus me chercher.. c'est pour ça que je suis comme ça. Parce que bien sûr, coopérer, c'est plus trop mon truc. »
Je fis tinter les chaînes des menottes pour ponctuer mes mots. Une fois de plus avec du recul et un esprit sobre de tout alcool, je crois que je ne peux pas leurs en vouloir de prendre des précautions. Je suis traité comme un suspect, c'est tout.
J'en soupir un coup, m'avachissant de nouveau sur la table en haussant les épaules.
« Honnêtement, je comprends pourquoi je suis dans cette pièce. Dans un monde parfait on accuserait les gens qu’après avoir des preuves solides.. Mais bon.. C'est loin d'être le cas.. J'imagine que je remplis pas mal de case dans leur liste du parfait suspect. Juste que j'étais pas sur place »
Et que j'ai aucune foutu raison d'avoir fait ça non plus. Mais c'est certainement un détail ça. Mon regard se pose sur Keridwen, content qu'elle ai décidé de venir, soulagé d'avoir une allié ici, ça change des accusations, et au moins, avec elle, j'ai la sensation de pouvoir parler plus librement.
« Sérieux je crois qu'ils ont rien. J'ai pas réussi à savoir s'ils penchaient plus vers un suspect que l'autre.. Visiblement personne ne sait quelle arme à fait ça, ni ou elle est.. Ni si on a retrouvé une balle... En faite je sais rien, juste que les Natifs sont prêt à jurer sur la tête de leurs gardiens qu'aucun d'entre eux ai pu le faire... Du coup .. Je sais pas.. c'est juste le bordel. »
Je crois que ça résume assez la situation.
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Keridwen Caldin
Keridwen Caldin
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Keridwen Caldin
Keridwen Caldin
Emploi : Electromécanicienne
Keridwen Caldin
Mer 30 Jan - 21:13

YILMAZ
Caleb

CALDIN
Keridwen

「 « La poésie est une religion sans espoir. »」

Je scrutai Caleb, écoutant ce qu'il me disait et le laissant déverser tout ce qu'il voulait bien ressentir en ma présence. Il paraissait fatigué, usé par cette vie à passer pour le coupable avec son énorme balafre. Je passai la main sur ma poitrine, comme pour me rassurer que la mienne était toujours là, en place. Là où mes poumons devaient être. Je repris quelque chips, structurant les quelques commentaires perdus de mon ami. Je savais qu'il ne pensait pas comme moi, ce n'était pas son genre, non. J'étais clairement plus ouverte à la vie que lui, et pas besoin d'être une pro des relations sociales pour le remarquer. Caleb était un des brisés de cette planète. Comme tant d'autres.

A croire que j'avais le don de les choisir ceux-là aussi, machônnant ma chips, je finis par grimacer parce qu'il ne me répondait pas réellement à la question. Et lui c'était quoi son alibi pour ce soir-là en fait ? La petite Sherlock Holmes rousse qui se réveillait dans mon crâne avait envie de savoir.

«Non, non, ce que je voulais savoir, c'était ton motif, alibi tout ce que tu as sur toi en fait. Si je peux aider à t'innocenter. Aide-moi à te comprendre, Caleb. J'ai mes raisons de croire en l'innocence des humains. Mais j'aimerai prouver aux yeux de tous que toi aussi t'es le plus innocent possible. C'est facile d'accuser l'ancien militaire aux capacités si particulières.»

Je sortis un paquet de conneries au chocolat et cacahuètes, je crois qu'il aimait bien ça quand on était gosses. Enfin, il s'en ait jamais plein quand j'en récupérai gratos à la cantine de l'hôpital. Je tapais dedans en me vautrant sur le siège, alors que j'ouvrais mon carnet à croquis, tournant la page pour commencer à dessiner Caleb. Pourquoi lui ? Je sais pas. L'image m'était importante. Elle s'imprimait dans mon esprit comme un souvenir qui ne s'en irait pas de si tôt et dessiner avait toujours était plus simple que parler. Même si je n'aurai probablement que de faire une esquisse grossière. J'espérai y reconnaître le jeune en face de moi. Désespéré un peu par la vie et ce que les autres ont fait de lui.

«J'espère que tu n'iras pas en prison, maintenant que l'on s'est revu, Cal'.»

Je l'avais pas appelé comme ça depuis l'hôpital, peut-être que cela m'était revenu en le dessinant, j'en avais d'autres des croquis de lui dans mes vieux carnets quand je squattais sa chambre pour lui tenir compagnie. C'était peut-être parce que c'était une tête de mule à l'époque que j'avais voulu l'appeler comme ça, pour attirer un peu son attention. A lui, le garçon blessé. Maintenant, c'était un réflexe d'une vie trop vite oubliée qui revenait dans ce moment gênant des déclarations et du silence. Je crois que je n'osai pas relever les yeux. Gênée de me rappeler tout ça et de finalement, encore une fois le dessiner sans qu'il me donne son avis.
Caleb Yilmaz
Caleb Yilmaz
Humain
Caleb Yilmaz
Caleb Yilmaz
Emploi : Mineur
Caleb Yilmaz
Jeu 31 Jan - 17:07
LA POÉSIE EST UNE RELIGION SANS ESPOIR

M'aider à m'innocenter ? Sérieusement ?
Si quelques personnes ont passé cette porte en temps que soutien ou allié, c'est la première décidée à aller secouer le monde avec les preuves de mon innocence. J'en reste surpris quelques secondes avant d'en sourire, quelque part ça ne m'étonne pas vraiment d'elle. Ça aurait pu être une ruse de la part des autorités qui nous ont enfermés ici. Un genre de méthode douteuse pour me pousser à me confier, mais sincèrement, ils ont tellement l'air de galérer que j'ai du mal leur accorder ce stratagème.
Elle est juste sincère, elle veut me sortir de là.
Sortant encore quelque chose de son sac, à croire qu'elle a prévu de me rassasier pour plus de trois semaines, elle glisse un surnom affectif dans la conversation. L'odeur du chocolat et le son de sa voix me plongent brièvement dans mes souvenirs. Je me revois dans une chambre trop blanche en compagnie d'une gamine au sourire radieux et aux yeux rieurs. Ses chocolats sans une main et son carnet dans l'autre. Ça remonte si loin que ça semble être dans une autre vie. Pourtant, Keridwen est bien là aujourd'hui, assise en face de moi à gribouiller ma tête sur une de ses feuilles, espérant ne pas me voir disparaître encore une fois.
« Je vais pas aller en prison t'inquiète pas.. »
Ça manque un peu de conviction mais c'est pensé avec sincérité. Je n'irais pas puisque je n'ai pas mal place là bas. Je lui offre un sourire en guise de réconfort, qu'elle ai quelque chose à dessiner d'un peu plus enthousiasmant qu'une gueule d'enterrement et un air profondément soûlé par le monde entier.
« C'est vrais que j'ai pas d'alibi. Être seul chez sois après une journée de boulot c'est pourtant pas si suspect. Pour le motif, j'en ai juste pas. Je la connaissais pas cette prophétesse. Juste de nom, je suis même pas certain de l'avoir déjà physiquement vu alors.. la tuer.. »
Aucune raison de le faire en gros. Mais l'absence de preuves pouvant prouver mon innocence leur suffit à me garder ici, c'est bien ça le problème.
« Je crois que c'est le karma qui me tombe dessus en faite. A force de faire les rustres impulsifs ça m'a taillé une réputation de danger public. »
Du coup c'est juste ma faute j'imagine ?
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Keridwen Caldin
Keridwen Caldin
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Keridwen Caldin
Sam 9 Fév - 22:28

YILMAZ
Caleb

CALDIN
Keridwen

「 « La poésie est une religion sans espoir. »」
J’arrêtai de griffonner pour observer Caleb en silence. Montant mon critérium vers ma lèvre supérieure avant de commencer à jouer de l’embout avec, un sourire m’échappant, c’était une forme de promesse, si je ne me trompai pas ? Je n’avais jamais été très douée dans ce genre de choses, les promesses et la réalité de ce que ça engendrait. Je passais une main dans mes cheveux, alors que j’entendis de gros coups sur la porte. Coupée dans mon élan pour une nouvelle question, je grimaçai. Time’s up. Je soupirai un peu avant de fouiller dans mon carnet à dessin et d’arracher une page.

C’est un dessin que j’avais fait peu après avoir rencontré Caleb dans la mine, je me massai la nuque à nouveau avant de le tendre au jeune homme avec un sourire. Gênée, probablement en train de rougir vu que je sais tellement pas y faire. C’était un dessin de lui, lorsque je venais de faire ma crise de claustrophobie, les milliers d’étoiles derrière lui et ce regard qu’il m’avait lancé. Ce premier regard qu’il avait posé sur moi depuis qu’il savait qui j’étais.

« Je trouvais ça important. »

J’haussais des épaules, lui laissant la bouffe, avant de lui ébouriffer les cheveux et de partir, rangeant mes affaires en me levant. Je devais laisser ma place à quelqu’un d’autre. Je lui fis une grimace, ramenant mon sac contre mon corps fin. Poussant la porte avant de murmurer doucement.

« Envoie un message quand tu sors… »

Petit sourire, et je glisse ma mèche derrière l’oreille avant de sourire aux gardiens, m’esquivant alors de l’emprise de la loi pour me diriger de nouveau chez moi. Un peu triste de laisser mon vieil ami ainsi.

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