Tu connais Tama depuis longtemps, vous étiez petits. Et il a toujours été farceur, toujours à vouloir te faire tourner en bourrique. Toi, naïve depuis ta naissance, tu croyais tout ce qu'il disait. Il avait beau te faire des vacheries, tu ne pouvais pas le détester. Il était un précieux ami. Vous vous êtes simplement perdus de vu, en grandissant, vous vous êtes éloignés sans pour autant perdre votre amitié. Il n'a pas changé, et ne changera pas. Le fait qu'il partage les idées de tes parents t'as rendu triste. Tu a s commencé à penser qu'il jubilait de ta séparation avec Sirius. Le sujet des humain est un trou béant entre vous, vous ne partagez absolument pas les mêmes idées. Mais ce ne l'a jamais empêché de t’apprécier, et inversement. Tama a le don de te faire penser à autre chose, tu ne t'es jamais ennuyé avec lui? Alors oui, tu es contente de le voir ce soir, un peu. Tu es plutôt préoccupé par le fait que tes parents et les siens seront. les parents de Tama t'ont toujours traité humblement, avec respect, mais ça s'arrête là. Ils savent ce que tu penses. Si tu n'avais pas été la fille des tiens, ils n'auraient fait qu'une bouchée de toi.

Tu allais diner au restaurant avec tes parents, ta sœur, les parents de Tama et lui-même. Tu sentais déjà le gout du vomit qui allait te monter aux lèvres quand ils parleraient du fameux sujet, tabou. C'est simple, sils en parent, tu quitte la table.

Tu arrives enfin au dit restaurant et aperçois une frimousse qui ne t'es pas inconnue, tu souris. Il te vois et... évidemment, il commence son char habituel.



Le voilà te faire chavirer, comme danseur il serait top. Tu begaye un peu, prit de court et le pousse doucement. Doucement oui, et pourtant tu le pousses de toute tes forces. Mais ce n'est pas avec tes petits bras de princesse et ta frce de moineau que tu arriveras à quelque chose. Tu détourne vivement la tête.



Tu n'es pas vraiment à l'aise, et ça se voit. Le but recherché était atteint par Tama, tu t'avoues vaincue, encore une fois. Il faut dire que les élans de tendresse sont plus rares depuis 6 mois. La seule personne qui ai vraiment le droit de te toucher ainsi est et restera Sirius. pendant un instant, tu espères sincèrement que ce soit Sirius à la place de Tama. Enfin bon.
         
   

Tu n'es plus la même.
Chaque secondes, minutes, heures, jours, semaines et mois qui passent... tu t'éloignes de celle que tu étais. Ton seul remède est celui dont ton cœur est épris. C'est injuste. Tu te souviens du soir-même de "votre décision". Tu eu pleuré toutes les larmes de ton cœur, ta gorge se déchirait, ton cœur se décomposait, tes lèvres se gerçaient et tes yeux te piquaient. C'était affreux, cette douleur que tu n'oublieras jamais. Tu allais devenir cette coquille qui subit la vie, qui ne la vis plus. Mais personne ne le comprenait, personne ne le voyait. Cela faisait si mal, si mal. Tu es même étonnée de ne pas t'être donné la mort. Tu redoutes tellement la première année qui va passé. Mais que pourrais-tu faire ? Tu es bien trop faible tu es à la merci de ta famille. Tu ne saurais pas te battre. Mais Pakihi, fais preuve d'imagination, ton pouvoir de faire naitre des plantes pourrais t'être utile et dévastateur. Réfléchis Pakihi. Qu'es-tu prête à faire pour revoir l'élu de ton cœur ?



Tu penches la tête puis regarde autour, il n'y avait que vous deux. Arf, classique. Être en retard semble être une nouvelle mode. Cela traduit que le repas va être donc retardés, donc plus longs. Tu serais bien mieux sous une couette bien choses.



Un petit silence s'installe. Te revoilà partie de l'autre côté de la barrière, songeant au fait que Tama pouvait être au courant de ta situation actuelle. Enfin, le sait-il vraiment ? Sait-il que tu n'es plus avec Sirius, l'humain ? Se frotterait-il les mains ? Il te dirait "c'est pour ton bien". Bien qu'il pense comme ta famille, tu as espoir qu'un jour ils soit de ton côté. Mais jamais cela ne se passera Pakihi, ce serait bien trop simple. Le pompom, se serait de vous marier tout les deux, Tama est très apprécie par ta famille. Et elle est prête à tout pour te secouer un peu, pour te remettre sur le droit chemin.
Comme ils disent.
         


Ahj Pakihi, tu ne cesse de lancer des perches à ton ami, le taquin. Tu ne fais pas exprès, mais Tama à l'habitude de rebondir sur tout ce que tu dis. C'est bon enfant, c'est drôle. Il a toujours une part de soucis à ton égard, malgré les petites vacheries qu'il a pu te faire, il s'arrangeait toujours pour que ca aille mieux par la suite. Comme la fois où, quand vous étiez mômes, il renverse ta glace et ricane. Voyant ta petite mine de petite fille effondrée, en pleurs, il avait décidé de renverser sa propre glace pour te redonner le sourire. Lourd tribu de sacrifier sa glace pour un enfant. Pourquoi a t-il été corrompu ainsi, te demandes-tu ? Pourquoi est-il si loin de toi, cette crevasse qui vous sépare.
   

"Ce serait drole que nos enfants, un jour, soient amenés à se marier !" Dit ta mère sur un ton assuré à celle de ton ami. C'était une suggestion qui se voulait innocente, une chose que tu entendais souvent. Et vous, en tant que gamins de l'époque, vous jouiez au papa et la maman. Vous preniez ça à la rigolade. Tu as toujours su que ta mère avait un penchant pour la famille Ahuura, et donc pour le fils. C'est étrange quand on y pense, ta mère n'en a plus jamais reparler une fois que tu eus commencé à comprendre ce que voulait dire les mots des grandes personnes. La mère de Tama n'en parlait plus non plus. Alors cela semblait-être du passé ou une fable baigné d'humour. Et vous voilà ainsi, deux adultes.



Tama enroule son bras autour de tes frêles petites épaules. Cette chaleur si douce te fait du bien, mais c'est un contact physique. puis doucement, tu prend conscience que les gestes physiques te manquent terriblement. Tu te laisses faire et ne bronche pas. Il est si bon avec toi. Tu te rend compte que ce n'est plus un garçon, mais un homme. Il annonce le nom servant pour la réservation et vous voici à la table. Il te tire même ta chaise, wouah ! Où est le petit garçon qui voulait te forcer à manger un ver de terre étant gamins ?



Quelque part, tu es contente. Pas que tu les déteste, non. Mais tu n'avais pas envie d'entendre du racisme ce soir. Le mot race te fait frissonner autant qu'il te dégoute. Au moins, c'est une bonne chose. le mieux, ce serait que tes parents ne viennent pas non plus. Tu es tout de même assez surprise. Cette soirée ne sera pas aussi pourrie finalement.


         


Serais-tu nerveuse Pakihi ? Où tu es heureuse de le voir mais pourquoi es-tu si embarrassée ? Tu lui soujris et baisses la tête pour regarder les couture de la serviettes de table. Vite, trouves un truc à dire ! Ne te fais pas surprendre.



Plus depuis que tu es religieuse. D'ailleurs, tu te demande ce que pense Tama de ton statut.