La lumière au creux de ses doigts ▬ Keridwen Banniere-56392a6
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion   DISCORD
Le deal à ne pas rater :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à -50% (large sélection)
Voir le deal

La lumière au creux de ses doigts ▬ Keridwen
Ura Hauraki
Ura Hauraki
Administratrice ─ native
Ura Hauraki
Ura Hauraki
Emploi : Voltigeuse
Ura Hauraki
Mer 20 Fév - 12:45
la lumière au creux de ses doigts
La salle est vide, les lumières sont toutes allumées, éclairant  les sièges vides et faisant ressortir leur belle couleur rouge. Seule la scène déteint, avec ici et là des accessoires de toutes les couleurs ou des décors entassés dans un joyeux bordel. Et bien sûr, tu te trouves en plein milieu, assise sur un tas de tissus en intense réflexion. Plutôt le mauve ou un bordeaux pour changer ? C'est la question qui t'obsède. Mais tu n'as pas le temps de te décider, un bruit d'ampoule qui éclate te fait sursauter. Et la scène passe dans le noir. Tu gémis en te relevant, tu n'avais pas vraiment besoin de ça. Ce soir il y aura du monde et surtout des enfants partout. Leur gâcher le plaisir du spectacle est hors de question. Alors tu finis par faire appeler Keridwen un peu plus tôt que d'habitude. Vous ne vous croisez que très peu, occupées à faire votre boulot dans votre coin. Mais là tu as vraiment besoin qu'elle vienne voir ce qu'il s'est passé. Parce que tu as beau avoir entendu quelque chose, lorsque tu testes différentes lumières, ça grésille au dessus de toi. Une ampoule à changer ne ferait pas ça pas vrai ? Le problème vient donc de plus haut.

En attendant son arrivée, tu replonges dans ton tissu et tu te décides pour le bordeaux. Avec un peu de chance, tu pourras aussi lui demander de faire différents réglages. Tu as envie de tester de nouvelles choses et si la jeune femme arrive à faire des miracles, le spectacle n'en sera que plus réussi !

La porte s'ouvre au loin, derrière les sièges. Tu n'as pas besoin de lever la tête, tu sais qu'elle est arrivée et avant même qu'elle parvienne à toi, tu fais porter ta voix.


« Bonjour ! Désolée de t'avoir fait appeler plus tôt, mais j'ai un soucis avec la lumière, comme tu peux le voir. »


Car en effet, tu ne t'amuses pas vraiment à rester dans la semi obscurité de la salle.


« Tu crois que tu peux faire quelque chose ? »


Tu as toujours parlé comme ça avec les gens avec qui tu travailles. Ce n'est pas du manque de respect, quoique parfois il t'en faut peu. Mais la jeune humaine n'a pas de bras robotisé ou ce genre de chose alors tu la respecte certainement plus que d'autres. Les gens ne sont pas bêtes, ils ont bien vus que tes relations avec les adultes étaient compliquées. Tu fais juste ton tri, c'est tout. Après, il ne te semble pas avoir déjà longuement discuté avec elle. Alors pour une fois, tu te redresses, tu sautes en bas de la scène et tu t'apprêtes à la suivre. Ca sera une excuse pour te délasser les jambes, tu n'en peux plus de rester assise par terre.
et elle souffla
des rêves
brillants

p a n d a r i e s
Keridwen Caldin
Keridwen Caldin
Humaine
Keridwen Caldin
Keridwen Caldin
Emploi : Electromécanicienne
Keridwen Caldin
Lun 25 Fév - 18:38

Hauraki
Ura

CALDIN
Keridwen

「 La lumière au creux de ses doigts.」
Je devais passer à la salle de spectacle plus tard dans la journée, faire la maintenance habituelle et aider quelques fois dans les moments de coup dur. Alors j’avoue que lorsque Ura m’avait appelée en fin de matinée, je ne m’y étais pas vraiment attendue à ça. Après tout, l’électricité reste assez capricieuse. Je lui avais promis de passer le plus rapidement possible, recalculant déjà comment tout avancé avec mes autres clients pour ne pas faire faux bonds à la demoiselle.

Résultat des courses, j’avais tout condensé et sauté mon déjeuner. J’avais juste eu le temps de passer par une boulangerie pour prendre un sandwich toasté. J’aimais manger chaud, quelque chose qui changeait de l’hôpital et probablement un truc bien gras qui changeait de mon alimentation si stricte. Le sandwich dans la bouche, je me garais devant la salle avant de sortir de là continuant à savourer mon repas.

Pénétrant dans la salle, j’entendis la voix au loin d’Ura, un sourire sur les lèvres, je continuais d’avaler mon repas avant de me diriger vers la tête rose au centre de la salle, fixant un peu autour de moi les lumières pour chercher l’origine du problème. J’avais bien compris ce qu’elle m’avait expliqué mais je cherchais à savoir si cela s’appliquait à un secteur entier ou non. Finissant par avaler une énième bouchée, je lui souris.

« Salut ! Il n’y a pas de soucis, juste un peu faim du coup. »

J’agitais le sandwich avant de croquer dedans pour le savourer de nouveau. J’enlevais alors ma veste, la posant sur la scène avant de plier le reste de mon sandwich et le ranger dans une partie de mon sac réservé à cet effet. Oui, j’aimais mon sac de travail fonctionnel. Buvant une gorgée, je répondis rapidement à Ura.

« Je pense pas que ça soit bien sorcier. Montons là-haut voir si déjà, il n’y a pas un fil de mal branché. »
Il suffisait que les éclairagistes se soient pris pour des génies et ils ont pu créer cette surtension. Ils auraient pu foutre le feu comme ça, attrapant mon ruban blanc à fleurs, je m’attachais rapidement les cheveux en queue de cheval avant de rejoindre l’échelle pour accéder aux lumières.

J’aimais bien bosser ici, on voyait l’envers du décor et puis c’était un univers complètement différent du très académique de l’hôpital ou même des machines qu’on me demandait souvent de réparer. Grimpant facilement, je m’accrochais à la sécurité, autrement dit un harnais et des fils pour avancer.

« Ura, fais moi le plaisir de faire de même. Ça serait bête de te faire mal avant ton show de ce soir. »
Cela ne me dérangeait pas qu’elle me suive, j’avais juste pas envie d’appeler l’hôpital en urgence parce que j’ai pas assuré de ce côté-là. Avançant calmement au-dessus du vite, je parvins à la lumière cassée.

« Ça risque effectivement de prendre un peu de temps. »

C’était clairement un survoltage qui avait fait pété l’ampoule vu l’état de celle-ci. Pendue comme ça, à fixer l’ampoule, je souris calmement à Ura.

« Mais t’inquiète la fée Keri peut effectivement te réparer ça avant ce soir ! »

Je lui fis un clin d’œil avant de commencer à enlever précautionneusement le reste de l’ampoule, évitant de me couper avec les morceaux restants.
Ura Hauraki
Ura Hauraki
Administratrice ─ native
Ura Hauraki
Ura Hauraki
Emploi : Voltigeuse
Ura Hauraki
Jeu 28 Fév - 17:18
la lumière au creux de ses doigts
Tu la suis, curieuse. Une fois arrivées là haut, sa remarque te fait sourire. Tu es habituée à être à cette hauteur, le sol bien loin de tes pieds. Mais tu hoches la tête  et tu te met en sécurité avec un autre harnais. Tu joues en la suivant, sur la pointe des pieds, les bras écartés pour garder ton équilibre. Tu prends des passages compliqués tout ça parce que ça te manque de voltiger. Tu pourrais presque sauter dans le vide, comme tu es accrochée, mais ça ferait sûrement peur à Keridwen et elle n'est pas là pour ça. Alors tu finis par rester sage, observant ce qu'elle fait.


« Oh super merci ! Tu me sauves la vie, t'imagines même pas. »


Tu tires un peu plus sur le harnais, penchant ton buste dans le vide.


« Je t'inviterais un de ces soirs à manger un truc si tu veux bien ! »


T'as jamais vraiment oser lui proposer de venir dans ton glacier préféré avec toi mais du coup c'était enfin l'occasion. Tu souries et regarde en bas, les mains accrochées à la corde qui te maintient.


« Eh mais finalement toi aussi t'es un peu une voltigeuse. T'es tout en haut, bien au dessus des lumières et sans toi y aurait pas de spectacle. T'es la fée des lumières. »


Tes raisonnements restent toujours un peu enfantins mais tu es comme ça. Et puis c'est vrai d'un côté, sans son travail tu ne pourrais pas voler au dessus du public, les lumières braquées sur toi. Dans ton esprit, tu vois une Keridwen, la lumière au creux de ses doigts, l'envoyant sur une Ura dans les airs. L'image te fait rire, faisant trembler les poutres retenant le matériel.


« Ca ne te tenterais pas d'être sous les lumières pour une fois ? Au lieu de rester dans l'ombre. Je donne des espèces de ... cours aux enfants des fois. T'aimerais pas tester ? »


Tu ne sais pas pourquoi, mais tu as envie de partager un moment avec elle. Pour la remercier de s'être déplacée plus tôt certainement. Tu hausses les épaules et tu regardes ce qu'elle fait.


« Enfin si jamais il nous reste du temps avant ce soir. »


Tu ne comprends rien à ce qu'elle fait mais tu continues de l'observer en espérant ne pas te prendre un non catégorique.
et elle souffla
des rêves
brillants

p a n d a r i e s
Keridwen Caldin
Keridwen Caldin
Humaine
Keridwen Caldin
Keridwen Caldin
Emploi : Electromécanicienne
Keridwen Caldin
Ven 1 Mar - 16:48

Hauraki
Ura

CALDIN
Keridwen

「 La lumière au creux de ses doigts.」
Concentrée sur la lumière, je dévissais l’ampoule du bout des doigts, la tête dans le vide, les jambes serrés autour de la barre pour me permettre plus de mouvements brusques au besoin. Je souris à la proposition d’Ura. Il paraît qu’il fallait que je sois plus sociale, puis juste parler de nourriture me donnait encore faim, dans un grand sourire, je lui répondis.

« Ça serait cool ! J’ai tendance à ne pas trop sortir. »

Je devais avouer que personnellement, à part Azel, je ne fréquentais pas trop de monde et mon meilleur ami était toujours par monts et par vaux. Donc, j’étais bien plus souvent seule que je ne voulais peut-être bien l’avouer. Seule avec ma mécanique, seule à sortir pour mes clients. Je crois que la solitude était peut-être tellement ancrée en moi que la quitter me faisait presque étrange en y repensant.

Le compliment d’Ura me fit sourire, je me laissais suspendue tendant mes doigts vers la scène en bas. Un monde complètement étranger pour moi. Un monde magnifique que des gens comme l’acrobate était d’éclairer, d’embraser en l’espace d’un instant. Mais pas moi. Je n’en étais pas capable, je ne savais rien faire. Si ce n’est réparer et dessiner. Mes deux seules qualités. Lançant dans un sourire alors que je me redressais.

« Les fées ne sont là que pour faire briller les étoiles comme toi, Ura. »

Haussant un peu des épaules, j’ôtais l’ampoule la posant en hauteur avant de me hisser à la force de mes bras, l’observant un petit moment. Bon, comment on pouvait être arrivés à ce point là hein… Je réfléchissais avant de me redresser, un peu dans mon monde à ce moment précis, cherchant le fil qui pouvait être dénudé ou mal branché. Avant qu’elle ne me fasse la proposition la plus étrange qu’il soit. Je m’arrêtais, la dévisageant. Euh… Qu’est-ce que je suis sensée dire ?

C’était typiquement le genre de trucs qui me donnaient envie d’essayer. Pourquoi ? Parce que j’étais prête à essayer du saut en parachute ainsi que du saut à l’élastique et tout autre chose un peu folle.  Je sentis un léger sourire timide, venir se planter sur le coin de mes lèvres. Voler l’espace d’un instant, avouons-le. Ça serait génial.

« Ça… pourrait être sympa, oui. »

Après tout, elle ne me demandait pas de monter sur scène, enflammer un auditoire, les faire perdre leurs souffles et rêver du ciel étoilé, du contact du tissu, non rien de tout ça. La brindille que j’étais n’aurait jamais pu dans tous les cas.

Le sourire sur les lèvres, je repris ma quête du fil corrompu, l’ampoule à la main alors que je marchais droit sur les barres, les yeux rivés sur tout ce qui pendait, m’arrêtant parfois pour en replacer un machinalement.

« Qu’est-ce qui t’a donné envie d’être acrobate, Ura ? »

Je ne sais pas d’où venait cette question, elle avait simple venu creuser son chemin jusqu’à ma bouche me laissant la poser sans que je ne m’en rende réellement compte. M’asseyant de nouveau, je rangeais un fil à l’abandon alors que j’enroulais l’énorme câble noir sur moi-même, levant les yeux vers Ura pour l’écouter.

Ura Hauraki
Ura Hauraki
Administratrice ─ native
Ura Hauraki
Ura Hauraki
Emploi : Voltigeuse
Ura Hauraki
Lun 25 Mar - 11:58
la lumière au creux de ses doigts
Elle accepte ta proposition à aller manger, ce qui est plutôt cool en fait et ton sourire vient éclairer ta face dans l'ombre. Tu décroises tes doigts comme si tu avais souhaité à Navara qu'elle te dise oui. Toujours une attitude puérile, mais t'y peux pas grand chose. Tu la regardes évoluer dans son élément et tu penches la tête. Elle a clairement un bon équilibre. Elle se sert de ses bras et de ses jambes pour rester dans une position confortable, elle a des abdos qui maintiennent son buste bien droit. Vous pourriez bien vous amuser si en plus elle te disait oui pour essayer de voltiger. Mais sa phrase sur les fées te fait bien comprendre qu'elle n'a pas l'air d'accord avec toi. Tu pinces les lèvres et tu prends ton inspiration pour essayer de lui faire changer d'avis mais elle te glisse une réponse positive juste après. Du coup tu quittes ta position boudeuse et tu ris doucement.


« Super ! Tu vas voir c'est vraiment bien. En plus j'ai tout en bas, comme ce soir je suis censée donner un cours à la petite du docteur Di Alestra. »


Tu la vois très souvent en ce moment et lui aussi d'ailleurs. Il faut croire qu'il ne peut rien refuser à sa fille, mais lui a toujours l'air mécontent. Tu hausses les épaules et tu reviens à Keri lorsqu'elle te pose la question. Tu souries calmement en te remémorant la première fois que tu avais volé.


« C'est tout simple, mes parents m'avaient offert une journée avec des professeurs de voltige. J'en ai fait une fois et j'ai jamais voulu repartir. C'était la plus belle journée de ma vie je crois. J'étais attachée parce que j'étais pas musclée et j'arrivais pas à me tenir avec mes bras, mais c'était magique. Les sensations que tu ressens c'est ... Incroyable. Il n'y a que toi et ce qui te soutiens. Tu peux pas penser à quelque chose de négatif quand tu te tiens en l'air, c'est trop bien. »


C'est simple comme explication mais tu penses avoir réussis à lui transmettre ce que tu ressens.


« Et puis a mon premier spectacle, j'ai vu les étoiles dans les yeux des enfants et là ... Je crois que c'est ce qui m'a décidé de continuer à voltiger pour les enfants. Ils ressentent tellement de choses. Ils captent la magie présente dans l'air et dans mes paillettes. Je sais pas trop comment dire. »


Tu ne sais pas comment dire que les adultes en sont incapables. L'étincelle présente chez les enfant est éteinte chez leurs parents. Leurs yeux sont vides et ça te fait peur. Parce que tu ne veux pas devenir comme eux. Sans parler de la voix qui t'a certainement poussée à voir ce genre de choses ... Mais la question n'est pas là.


« Et toi Keridwen ? Les machines, tout ça. Comment ça t'es venu ? »


La tête de ta furette sort de ta poche et tu viens la caresser. Paillette la curieuse.
et elle souffla
des rêves
brillants

p a n d a r i e s
Keridwen Caldin
Keridwen Caldin
Humaine
Keridwen Caldin
Keridwen Caldin
Emploi : Electromécanicienne
Keridwen Caldin
Dim 28 Avr - 15:27

Hauraki
Ura

CALDIN
Keridwen

「 La lumière au creux de ses doigts.」
Ura semblait contente que je me prête à son jeu, à son monde ce qui me tira un léger sourire. Elle n’était pas compliquée comme fille et ce qui me plaisait à cet instant chez elle. Je n’avais pas à faire semblant, je n’avais pas à chercher. Elle était simplement … Simple ? Je pouvais dire ce que je pensais sans qu’elle le prenne réellement mal.

Puis elle dit ce mot. Ce nom qui me tire de mes réflexions alors que je m’imaginais déjà voltiger avec elle en m’éclatant pitoyablement au sol. Di Alestra. Je me fige l’espace d’un instant, cela faisait un moment que je n’avais pas vu le médecin. Mordillant la lèvre, je réalisais que j’avais peut-être oublié cet homme pour qui j’avais autant de respect et d’admiration à force de côtoyer Caleb… Et pourtant, je sentais une envie de le voir pousser au fin fond de mon être. Cela serait vraiment… Bien.

« Je ne savais pas qu’il avait finalement cédé… »

La remarque est plus pour moi qu’autre chose, je ris doucement en levant les yeux vers Ura avant de reprendre ma quête vers le dysfonctionnement, l’écoutant dans son épopée de son plus heureux souvenir alors que je me demandais ce qui était le mien.

J’avais un sourire en imaginant sans mal à l’admiration pour le magnifique ballet aérien de la demoiselle dont les enfants rêvaient toutes les semaines. Elle avait du public et c’était tout ce que je pouvais souhaiter à la jeune femme. Puis elle la posa, cette question. Comment j’étais venue à faire ce métier…

J’émis un petit rire alors que j’haussais des épaules, m’arrêtant un instant pour inspecter un câble. Commençant alors mon récit.

« Quand j’étais petite, j’étais très malade. Le genre à ce que j’ai passé plus de temps, enfermée qu’à pouvoir jouer dehors. »

Je ne voulais pas réellement voir la tristesse dans les yeux d’Ura à cet instant alors je continuais à raconter mon histoire tout en travaillant.

« Donc je passais mon temps à dessiner, trifrouiller des trucs pour m’occuper puisque personne ne me parlait réellement, je n’avais pas d’amis… Et je construisais des trucs à droite et à gauche. Puis un jour… Un médecin avec qui j’avais l’habitude de discuter et qui aimait bien ma façon de découvrir les choses… Il m’a offert un livre en me précisant que de toute manière, mon esprit n’avait aucune limite ni celle que je m’imposais. Mon corps et ma faible constitution, ce n’était rien.

Je me redressais avant de chercher le fil dissident qui finit par apparaître, sortant alors quelques outils. Je ris doucement.

« Et me voilà, électromécanicienne, à force d’étudier, trifouiller et raccomoder. »

Je fais un clin d’œil à Ura et sa furette avant de commencer les réparations tant attendues. Tenant quelques outils entre mes doigts, avant de me décider à couper la partie défectueuse pour effectuer un resoudage rapide.


Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
 
La lumière au creux de ses doigts ▬ Keridwen
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» « Pure & Cure » — KERIDWEN
» Take a breath ! - Keridwen Caldin [UC]
» Call me maybe ! - Keridwen Caldin
» Rien n'est plus vivant qu'un souvenir. [Keridwen]
» Problème technique ! | ft. Azel & Keridwen

Sauter vers: